Non ne dis rien, je sais ce que tu penses, que l'heure de dormir est depuis trop de temps passée, mais chut ne dis rien, allez quoi laisse moi juste te raconter un peu ce petit week end là bas, Paris exactement , oui mon petit être j'ai pris un TGV qui m'a emmené à 600kilomètres de mon nouveau chez moi, je les ai vu eux, elle et lui avec qui on avait le projet de [..] et lui leur ami que je ne connaissais pas et puis elle, demoiselle du net que je n'avais encore jamais vu, alors j'ai récolté et donné tout un tas de sourires, tout un tas de souvenirs dans la tête et dans l'appareil photo, leurs mots sont semblables à ceux de ce mois d'decembre l'an passé quand, pour la première fois, j'y suis allée, ah quel bien fou ça fait, retrouver des présences, des mots, des odeurs, ça donnerait presque envie de pleurer de joie ouep la joie de l'instant et tant pis pour le reste, les cours qui partent en sucette, la société qui nous a fait devenir comme ça .. on est là ensemble autour d'un verre, d'un jeu, chez eux, dans la rue ou dans un bar, on se sourit, c'est du timide au debut et puis la glace fond, dis moi petit être pourquoi faut partir quand la timidité est pourtant totalement absente? Pourquoi faut déjà courir pour ne pas rater son train, un dernier sourire et à bientôt, j'en veux d'autres et pas dans 4 mois .... mais ne dis rien petit être ... chut je ne veux pas t'entendre ...
Mercredi 19 novembre 2008 à 0:11
Non ne dis rien, je sais ce que tu penses, que l'heure de dormir est depuis trop de temps passée, mais chut ne dis rien, allez quoi laisse moi juste te raconter un peu ce petit week end là bas, Paris exactement , oui mon petit être j'ai pris un TGV qui m'a emmené à 600kilomètres de mon nouveau chez moi, je les ai vu eux, elle et lui avec qui on avait le projet de [..] et lui leur ami que je ne connaissais pas et puis elle, demoiselle du net que je n'avais encore jamais vu, alors j'ai récolté et donné tout un tas de sourires, tout un tas de souvenirs dans la tête et dans l'appareil photo, leurs mots sont semblables à ceux de ce mois d'decembre l'an passé quand, pour la première fois, j'y suis allée, ah quel bien fou ça fait, retrouver des présences, des mots, des odeurs, ça donnerait presque envie de pleurer de joie ouep la joie de l'instant et tant pis pour le reste, les cours qui partent en sucette, la société qui nous a fait devenir comme ça .. on est là ensemble autour d'un verre, d'un jeu, chez eux, dans la rue ou dans un bar, on se sourit, c'est du timide au debut et puis la glace fond, dis moi petit être pourquoi faut partir quand la timidité est pourtant totalement absente? Pourquoi faut déjà courir pour ne pas rater son train, un dernier sourire et à bientôt, j'en veux d'autres et pas dans 4 mois .... mais ne dis rien petit être ... chut je ne veux pas t'entendre ...
Jeudi 13 novembre 2008 à 23:23
tu sais petit être écouter saez à cette heure de la nuit avec dans la tête cette sensation de je vais pas bien c'est comme boire encore et encore et surement s'enfoncer encore plus loin.
"retiens moi si tu peux refermer la blessure qui me tiens à la vie le mal qu'on se fait et es coups de couteaux qui transpercent les plaies.."
"retiens moi si tu peux refermer la blessure qui me tiens à la vie le mal qu'on se fait et es coups de couteaux qui transpercent les plaies.."
Samedi 8 novembre 2008 à 22:40
Bonsoir petit être. Je viens te raconter des petits bouts de ma vie. [même si tu n'en as pas envie.] Tu n'as pas le choix n'est ce pas? Tu n'es rien, Tu ne peux rien dire, rien faire. Je débarque sans même prévenir, avec mes gros souliers et mes idées noires et oui comme souvent, juste pour me vider de ces mots, reprendre un peu mon souffle, rattraper le rêve qui s'en va de plus en plus loin devant moi .. Je le regarde tu sais mais j'ose plus vraiment l'imaginer comme pendant ces soirées où il me semblait si proche, dis mon petit être tu te souviens de mon rêve, il est caché entre tes pages bien au chaud dans ton silence.. dis moi que je me trompe.. il faut que j'ouvre les yeux hein ... et pourtant, comme tu peux le voir, je suis là, venant cracher mes débris.. mais, comme toujours, je ne pleure pas, je ne sais pas si je l'ai trop fait ou si j'ai trop appris son éducation .. je voulais pas tu sais devenir comme ça, pourtant je fais comme eux .. perdue dans la masse.. j'arrive même pas à respirer encore ce doux parfum de liberté.. j'ai besoin de la retrouver ... mais je sais qu'a chaque fois elle me glissera entre les doigts, cette envie tout simplement .. comment avant intact ... alors je la laisse briller au loin .. sublime et inaccecible.. tu sais petit j'ai rien oublié .. tout est encore là .. du début à maintenant ... quand j'y repense j'ai envie d'crier mais je retiens et je reste muette .. correcte... silencieuse dans mon mensonge d'être une petite fille dont les parents peuvent être fier... non ils sauraient c'est sur qu'ils ne le seraient plus... tu sais comme ils la traitent elle ... qui fait une partie de ce à quoi j'aspire ... mais je ne dis rien... j'attends .. quoi? je ne sais pas petit être. J'entends les gens en bas, ils rient, ils crient, ils s'ammusent dans les rues de cette ville dans laquelle je n'ai pas de place... Tu sais je ne me reconnais pas dans leurs fêtes...