Ce que je sais, ce que je n'applique pas, ce que j'ose conseiller sans y croire, peut être, cher petit être, je devrais en faire une liste, peut être surement, il faut que je me réveille par n'importe quel moyen, moi qui ne sais que trembler et fuir, baisser les yeux en sentant chaque remarque s'implanter en moi, comme un coup des plus violent, peut être qu'a trop entendre le mal on finit par ne voir que ça, comme si ce n'était que ces mots, la verité, comme si décidément je ne méritais rien, un coup mal lunée, un autre mal coiffée, l'autre trop timide, l'autre trop silencieuse, tout s'enchaine et je reste là, j'entends peut être plus qu'on le croit, oui petit être ce n'est rien de bien terrible, je devrais avoir honte de mes plainte inutile, cher petit être comment te raconter? l'enfance l'adolescence en compagnie de ces phrases un peu trop présente? comment reconnaitre que je suis aveuglée depuis trop de temps, que la perte de confiance s'est que trop installée je n'ai ni la force ni le courage de la repousser, tenter l'impossible comme si quelque part en moi j'y croyais encore, j'ai grandis enfermée dans ma tête, pour toutes les larmes que j'ai retenue et les mots aussi, comment attaquer quand on est brisée? comme faire autre chose quand on à gouter la fuite, ce gout amer de larmes qu'on retient parce que non faut jamais se laisser aller surtout pas comme ça devant tout le monde, alors qu'on mange que t'as voulu être gentille et que ça se retourne contre toi, parce que tu pourrais utiliser des mots mais qu'ils restent bloqués avec les larmes, que tu te sens si nulle, alors tu fixe n'importe quoi, souvent un point sous tes pieds, comme si le sol comprenait comme si il allait s'ouvrir, oui petit être j'courbe le dos le visage mon corps se replie, comme si j'avais la folie de croire que je pouvais former une carapace, c'était vrai hier ça l'est aujourd'hui et ça le sera encore demain, parce que non je n'évolue pas je ne sais tout simplement pas le faire, on ne m'a jamais dis les mots qui rassurent, c'était les regards en silence ceux qui te gèle sur place.
Dimanche 30 septembre 2007 à 19:34
Ce que je sais, ce que je n'applique pas, ce que j'ose conseiller sans y croire, peut être, cher petit être, je devrais en faire une liste, peut être surement, il faut que je me réveille par n'importe quel moyen, moi qui ne sais que trembler et fuir, baisser les yeux en sentant chaque remarque s'implanter en moi, comme un coup des plus violent, peut être qu'a trop entendre le mal on finit par ne voir que ça, comme si ce n'était que ces mots, la verité, comme si décidément je ne méritais rien, un coup mal lunée, un autre mal coiffée, l'autre trop timide, l'autre trop silencieuse, tout s'enchaine et je reste là, j'entends peut être plus qu'on le croit, oui petit être ce n'est rien de bien terrible, je devrais avoir honte de mes plainte inutile, cher petit être comment te raconter? l'enfance l'adolescence en compagnie de ces phrases un peu trop présente? comment reconnaitre que je suis aveuglée depuis trop de temps, que la perte de confiance s'est que trop installée je n'ai ni la force ni le courage de la repousser, tenter l'impossible comme si quelque part en moi j'y croyais encore, j'ai grandis enfermée dans ma tête, pour toutes les larmes que j'ai retenue et les mots aussi, comment attaquer quand on est brisée? comme faire autre chose quand on à gouter la fuite, ce gout amer de larmes qu'on retient parce que non faut jamais se laisser aller surtout pas comme ça devant tout le monde, alors qu'on mange que t'as voulu être gentille et que ça se retourne contre toi, parce que tu pourrais utiliser des mots mais qu'ils restent bloqués avec les larmes, que tu te sens si nulle, alors tu fixe n'importe quoi, souvent un point sous tes pieds, comme si le sol comprenait comme si il allait s'ouvrir, oui petit être j'courbe le dos le visage mon corps se replie, comme si j'avais la folie de croire que je pouvais former une carapace, c'était vrai hier ça l'est aujourd'hui et ça le sera encore demain, parce que non je n'évolue pas je ne sais tout simplement pas le faire, on ne m'a jamais dis les mots qui rassurent, c'était les regards en silence ceux qui te gèle sur place.
Dimanche 30 septembre 2007 à 12:17
je crois que je tombe
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Petit être pourquoi t'es pas là pour me sauver. [?]
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Jeudi 27 septembre 2007 à 19:20
Peut être que je me trompe, je crois que je ne sais plus mon cher petit être, peut être que je n'ai jamais su, que depuis toujours je me suis trompée, je ne sais pas si j'ne ressens plus rien ou si c'est l'habitude d'aller mal, des yeux qui piquent, du ventre qui se noue, qui me donne cette impression d'avoir en moi rien ou juste un vide immence, je serais un ballon, capable de voler si on coupait cette chaine qui me retiens, surement par les pieds c'est comme ça qu'on y imagine toujours, tu serais quelqu'un toi aussi cette image serait la première qui te viendrais en tête, je me demande si ce n'est pas par le haut qu'on me retient, je serais alors non plus un balon mais une enclume.. mais je serais quelque chose tu sais, à défaut d'être quelqu'un, tout sauf ça.. cette lassitude. ce masque que je n'ai même plus besoin de fabriquer il se glisse lentement sur mon visage je crois qu'il restera toujours.. ce masque de la fille qui n'en a plus rien à foutre, peut être qu'il détermine mes actes, comme le fait de savoir ce que je dois faire et d'agir de manière inverse totalement opposée. Peut être que je suis rien qu'une ado de plus, une perdue dont l'age t'importe peu, une qui ne sait plus rien de très précis, qui fuit quand il faut affronter, qui ignore tout respect pour ce qu'elle est, un corps un esprit, un être humain parrait il, c'est du moins ce que je crois voir quand on me regarde, parrait que ce visage à un petit quelque chose de beau à voir, peut être que ce que je pense n'est qu'un mensonge, j'ai pris un chemin que je ne connais pas et je me suis perdue sans chercher à revenir sur mes pas quand c'était encore possible, mon cher petit être j'aimerais que toi au moins tu me pardonnes d'être ce qu'on dit que je suis, la fille qui n'en a plus rien à faire de tout, des gens des choses et d'elle surtout celle qui traine dans les salles de classe le regard abasent, qui n'sait plus comment on fait pour parler sans son charabie inarticulé.
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Dimanche 23 septembre 2007 à 16:47
cher petit être, tu sais quoi il a peut être raison, c'est ce qui me manque peut être, sans doutes, j'ai besoin que ses bras me retiennent à la vie j'ai besoin de l'entendre me parler de sa plus jolie voix, qu'elle me raconte les mots d'amours de tout le monde, besoin qu'elle me dise tout et n'importe quoi, qu'elle invente pour moi un demain avec nos deux mains serrées, ou enlacées comme tu préfere, détail sans importance, peut être que j'ai besoin de renaitre dans un regard peut être qu'elle pourrait m'aider rien qu'en étant là, ouvrir l'espace de ses bras pour tout reconstruire, comme si tout en valait la peine, comme si on était encore jeune, parce que nous le sommes, peut être que finalement je pleure parce que je suis bien seule dans ma petite bulle, peut être que si j'ai si mal, que je manque de confiance en moi peut être que l'origine c'est ça, peut être qu'elle pourrait me retrouver en quelque sorte, faire ressortir ces fragments de moi, les recoller un à un, parce qu'elle en a le temps et le courage pour moi, peut être.. peut être ... mais mon petit être il faudrait deja qu'elle existe.. car elle n'existe pas, même dans mon imagination.. tu sais comme je suis bien incapable de croire en moi, tu sais comme j'ai mal de me dire que ça pourrait être possible, il est tellement plus simple de disparaitre sans se poser de questions, sans chercher à construire une histoire... j'ai tellement peur et quand j'ai peur j'ai pris cette mauvaise habitude de fuir, alors je ne change pas de shéma, je fuis ma vie... ris si tu veux je n'ai plus la force d'avoir honte ou quoi que ce soit d'autres. j'ai échoué encore une fois et je dois bien reconnaitre que plus je te parle plus je me perds mais qu'importe.. il est venu l'instant où je dois me taire.
Dimanche 23 septembre 2007 à 11:58
j'ai froid mon petit être tu pourrais le ressentir si t'existais, qu'importe. j'ai peur, je crois ou peut être que non j'en suis sure, au moins ça, une unique certitude dans cet amas de faux semblant, je joue au jeu de la vie, je triche pour ne pas perdre, je triche par tout ces jolis mensonges que je recrache parce qu'on m'a dit qu'il fallait être plus forte, toujours relever la tête, même si le soir quand t'es seule dans ta chambre ta tête est bien baissé et que ton corps il tremble tellement tu pleures et que t'as envie de crier pour arracher toutes ces pensées de toi, j'sais plus vraiment ce qui m'arrive ce qui se passe autour de moi, ces murs que je construis sans relache que rien ne semble brisé, petit à être l'espace se ressere il deviendra inexistant je le sens, comme si j'avais accepté ma défaite, comme si je n'étais deja plus rien, que m'reste il de ces idéeaux auquel j'ai l'age de croire encore? je me sens vieille tu sais, comme si le temps doublait juste pour moi, perception faussée par mon esprit, rien que moi, juste moi... j'ai perdue depuis trop de temps tout espoir et toutes illusions, alors j'reste là en contemplation de ces gens qui un jour, que j'èspere proche, me tourneront le dos...une ancienne envie remonte en moi mon cher petit être j'ai ce besoin iresistible de me mépriser de tomber et de m'écraser moi même, j'ai cette folie d'aimer cette déchéance, cette folie d'avoir besoin de tomber encore plus bas, au fond d'un trou ou personne ne pourra plus jamais venir me retrouver, l'illusion de croire que tout peut être oublié surtout mon nom, ma vie....
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